Alors la Russie c’était comment ? Les paysages

A l’image des routes, les paysages que nous avons traversés s’étendent littéralement à perte de vue. Certaines terres sont cultivées avec des parcelles énormes. D’autres sont encore à l’état sauvage, vierge de toutes exploitations humaines (surement par manque d’intérêt économique).

La traversé de l’Oural a rompu un peu avec la monotonie et offre un décor un peu plus montagnard avec des routes en lacet (youpi, des virages après 3000km de ligne droite !) et encore plus défoncées que d’habitude (si, si c’est possible).

Après l’Oural, la traversé de la Sibérie amplifie encore ce sentiment d’immensité. On imagine à quoi peut ressemblait ce paysage l’hiver – c’est surement très beau – mais pour changer un pneu c’est surement plus la même en condition hivernale. Nous traversons également une zone de plusieurs centaines de kilomètres qui est plutôt marécageuse (pour le plus grand plaisir des moustiques !). C’est en fait une multitude de petits lacs crées par la fonte des glaciers et l’écoulement des eaux lors de la dernière époque glacière. Les forêts sont également très présentes le long de la route (beaucoup de boulot d’abord qui laissent ensuite place à des résineux en s’éloignant vers l’Est.

Vient ensuite le lac Baïkal qui parvient à nous surprendre avec ses paysages inédits.

Et enfin, après Oulan-Oude, le décor prend fortement des airs de Mongolie à l’approche de la frontière avec des steppes et quelques collines.

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